
"L’oxymore poétique du titre en rappellera évidemment une autre au lecteur averti, à savoir celle du Moi-peau de Didier Anzieu, publié en 1985, livre fondateur auquel Guy Lavallée paye ici sa dette. La filiation était déjà évidente en 1999, avec la publication de L’Enveloppe visuelle du moi, ouvrage aujourd’hui épuisé, et contribution majeure de l’auteur à la métapsychologie. Après s’être éloigné de la peau pour penser la perception externe, il plonge en profondeur pour envisager le Moi-matière, les somesthésies et les perceptions de l’intérieur du corps."
A lire (avec un Easter egg à découvrir) dans